
L’actuel PDG du groupe Renault, Carlos Ghosn, s’est vu refuser ce jour, mardi 22 janvier, sa nouvelle demande de libération sous caution par le tribunal de Tokyo.
Lâché par le gouvernement français depuis quelques jours, le dirigeant est détenu depuis le 18 novembre dernier et pourrait ainsi rester en prison jusqu’à son procès qui n’aurait pas lieu avant plusieurs mois.
En coulisses, le gouvernement, principal actionnaire du groupe français prépare la succession et la sortie de l’ancien PDG de Nissan et Mitsubishi. Le débat autour d’une possible fusion entre Nissan et Renault, qui simplifierait la gouvernance de l’Alliance, serait de nouveau sur la table même s’il est démenti officiellement.