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Si à l'échelle internationale, le loueur longue durée a connu l'an dernier une certaine stabilité avec 700 000 véhicules en portefeuille, la filiale française a de son côté passé le cap symbolique des 100 000 unités en parc.
Alphabet a traversé 2022 avec sérénité. Tout en poursuivant son expansion avec deux nouvelles implantations, au Canada et en Finlande, le loueur longue durée a préservé un parc de 700 000 véhicules à l’échelle internationale, stable donc malgré une inflation élevée et un contexte économique tendu. Le volume de commandes a atteint 200 000 voitures, dont 53 500 véhicules électrifiés. En France, il dépasse désormais les 100 000 véhicules, une performance qui « résulte directement du fort engagement des équipes auprès des clients et des partenaires pour instaurer une qualité de service élevée et une relation pérenne », selon Stéphane Crasnier, P-DG d’Alphabet France. À l'échelle de l'Hexagone, 40 % des commandes enregistrées ont concerné des véhicules électrifiés.
Pour 2023, la filiale de BMW Group s'est fixée comme principal objectif de poursuivre la transition énergétique de ses clients en allant toujours plus loin dans le conseil et la mise en œuvre de solutions personnalisées. Pour cela, elle veut mettre l'accent sur la digitalisation et investir de manière significative dans les services numériques. « Nous prévoyons de poursuivre notre croissance, en particulier sur le segment des véhicules électrifiés pour lesquels la demande est forte et dont l’offre se développe massivement de la part des constructeurs », précise Markus Deusing, P-DG d'Alphabet International.
« En France, 2023 semble s’inscrire dans la même belle dynamique : nous démarrons l’année avec un portefeuille de plus de 103 000 véhicules et enregistrons une demande toujours plus forte de véhicules électrifiés, qu’il s’agisse de VP ou de VUL. Comme toujours, nous aurons à cœur de prendre soin de nos clients et de les accompagner au mieux dans la transition de leur flotte et dans l’adoption des solutions de mobilité les plus adéquates », conclut Stéphane Crasnier.