Bee2link acquiert Terranova Web Systems
Bee2link vient d’acquérir la firme italienne Terranova Web Systems, avec le soutien de son actionnaire Bridgepoint Development Capital, pour consolider son développement international.
Bee2link vient d’annoncer l’acquisition de la société italienne Terranova Web Systems, avec le soutien de son actionnaire de référence Bridgepoint Development Capital. Spécialisée dans la digitalisation des processus opérationnels des constructeurs et des distributeurs, cette entreprise devient la cinquième entité du groupe, avec bee2link, agence K, 3Dsoft et Neuralytics. Terranova Web Systems déploie plusieurs outils dont notamment Tcar, pour la gestion des stocks, Tfact, pour la gestion des centres de reconditionnement de VO, et Lead+, CRM complet. « Nous fournissons aujourd’hui des outils qui couvrent toutes les étapes opérationnelles en concession, de la gestion VN aux activités après-vente en passant par les usines de reconditionnement, la gestion de leads et le pilotage complet des activités. Mais nous sommes également capables de proposer des solutions personnalisées, notamment en permettant une intégration complète avec tout autre logiciel, banque de données, etc. », explique Stefano Tinti, directeur général de Terranova Web Systems. Des produits en partie complémentaires de ceux déjà proposés par le groupe.
Nouveaux clients
Cette acquisition complète donc le portefeuille de services de bee2link group mais permet également à la firme d’augmenter sa présence sur les marchés italien, espagnol et suisse. La société gagne également de nouveaux clients au passage, puisque les solutions de Terranova sont présentes chez 100 % des distributeurs Renault, Dacia et Nissan en Italie, mais aussi dans 90 % des concessions Suzuki et 60 % des établissements Mitsubishi et SsangYong. La firme est aussi présente au sein de Renault Retail Group Italie, Espagne et Suisse. Enfin, l’outil Tfact de Terranova vient d’être retenu pour équiper l’usine de reconditionnement de VO que Renault s’apprête à créer à Flins. « En sus d’une croissance organique à l’export via l’accompagnement des clients historiques de bee2link comme Stellantis ou Renault ou de nouveaux clients comme Porsche, la croissance externe est un des leviers les plus pertinents pour poursuivre le fort développement du groupe », explique Olivier Nemsguern, associé responsable de Bridgepoint Development Capital. L’investisseur souligne également que d’autres rachats pourraient intervenir pour compléter le maillage européen de bee2link. En attendant, cette acquisition permettra au groupe de réaliser 30 % de son chiffre d’affaires à l’international et d’aller jusqu’à 50 % en ajoutant les derniers contrats signés récemment.