La gamme de vélos électriques de la marque Michael Blast est proposée entre 2 000 et 3 000 euros.
Le groupe Maggi, distributeur des marques automobiles Hyundai, Suzuki, Opel, Fiat, Abarth et Kia sur 13 sites, s’est associé avec l’entreprise Michael Blast, afin de proposer de nouvelles solutions de mobilités à l’achat ou à la location.
Dans un contexte où les concessionnaires automobiles multiplient les opportunités de diversification de leurs activités, le groupe Maggi fait figure d’exemple. Depuis mi-novembre, l’opérateur auvergnat vend et loue les vélos à assistance électrique français de la marque Michael Blast au sein de huit de ses concessions situées en Auvergne-Rhône-Alpes. « Le mot "mobilité" nous est dicté tous les jours, par les constructeurs mais également par nos clients. Aujourd'hui, nous devons trouver d’autres sources de revenus que l’automobile, dont la vente en ligne s’accentue de jour en jour, confie Michel Maggi, président du groupe éponyme et président du Groupement national des concessionnaires Opel (GNCO). Nous devons aussi nous adapter face à la transition du thermique à l’électrique, et proposer à nos clients toutes les solutions de mobilité ». Deux corners supplémentaires seront installés à compter du 2 janvier 2023 à Valence (46) et Romans (26).
Des produits éligibles à la prime à la conversion
Grâce à ce partenariat le distributeur ajoute une offre de mobilité pour sa clientèle, tandis que Michael Blast accroît sa visibilité dans l’Hexagone. Développée en France, elle propose une gamme de vélos électriques premium (entre 2 000 et 3 000 euros) et d'inspiration vintage. « Le partenariat avec Michael Blast est une solution qui est venue comme un élément naturel. Leurs vélos électriques nous correspondent à travers leur style, tant intemporel qu'atypique, mais aussi dans leur positionnement haut de gamme », ajoute le concessionnaire.
Les bolides tricolores sont éligibles à la prime à la conversion. Cette initiative s’inscrit dans la stratégie nationale bas carbone visant à faire passer la part du transport à vélo de 4 à 12 % sur tout le territoire national d’ici à 2030, et ce dans le but de réduire les émissions de gaz à effet de serre.