SGS prête ses contrôleurs techniques
Fruit d’une longue réflexion et d’un travail collaboratif, le groupe SGS annonce le lancement d’une plate-forme inédite de prêt de contrôleurs techniques à destination de ses deux réseaux Sécuritest et Auto Sécurité.
Simple, efficace et économique, cet outil mis à la disposition exclusive des deux enseignes vise non pas à recruter du personnel en CDI ou en CDD mais simplement à mettre en relation les affiliés afin de pallier un besoin ponctuel de ressources.
Facile d’accès et d’utilisation
Baptisée « Mon Contrôleur », la plate-forme permet à un gérant de centre d’inscrire les contrôleurs volontaires en précisant leurs profils, qualifications, zones et dates d’intervention souhaitées, etc. En cas de besoin (d’une demi-journée à plusieurs semaines), chaque affilié peut poster une annonce et/ou consulter les fiches de contrôleurs remplaçants. Les protagonistes intéressés se mettent en relation directe. Une convention tripartite et un devis (modèles fournis par les réseaux) sont signés. Rappelons que pour être conforme avec la réglementation, la mise à disposition de personnel ne doit pas permettre de dégager une marge (mais seulement d’assumer la charge salariale).
Une opportunité de bouger
Grâce à cet outil, le gérant de centre de contrôle technique ajuste mieux ses charges en fonction de son activité. Il peut maintenir son chiffre d’affaires au niveau de sa demande clients, bénéficier d’une personne déjà formée et motivée, et mieux évaluer si à terme une embauche définitive est justifiée. Pour le contrôleur (sur la base du volontariat), c’est aussi l’opportunité de changer d’environnement (en abordant des profils de clientèle différents), de renforcer ses compétences techniques avec l’utilisation de nouveaux matériels et d’être au contact de nouvelles équipes.
« Cette plate-forme répond à une vraie demande du terrain. À l’ouverture, nous affichons déjà une trentaine d’annonces. Nous estimons que 10 à 15 % de nos affiliés vont rapidement devenir familiers du service », annonce Sophie Ribardière, responsable du projet.